En 1963, Louis Calaferte publie Septentrion. Aussitôt interdit, ce livre est réédité en 1984. Pour celui qui l'aborde, sa fulgurance est intacte.
La mécanique des femmes, qu'il nous donne aujourd'hui, est comme la quintessence de Septentrion.
Il y est question, comme le dit précisément le titre, des manifestations sexuelles et érotiques spécifiquement féminines.
Aucun écrivain n'aura jamais comme dans ce texte parlé de 'l'impudeur' et de 'l'obscénité' des femmes, avec une telle précision, un tel détachement, avec autant d'intense crudité.
De cela, comme de Dieu et de la mort, Louis Calaferte ne cesse de nous entretenir. Il le fait d'un point de vue souverain, celui de l'écrivain maître absolu de son style.
La mécanique des femmes, qu'il nous donne aujourd'hui, est comme la quintessence de Septentrion.
Il y est question, comme le dit précisément le titre, des manifestations sexuelles et érotiques spécifiquement féminines.
Aucun écrivain n'aura jamais comme dans ce texte parlé de 'l'impudeur' et de 'l'obscénité' des femmes, avec une telle précision, un tel détachement, avec autant d'intense crudité.
De cela, comme de Dieu et de la mort, Louis Calaferte ne cesse de nous entretenir. Il le fait d'un point de vue souverain, celui de l'écrivain maître absolu de son style.