Au printemps de 1839, les Anglais envahissent l’Afghanistan pour la première fois. C’est l’amorce du Grand Jeu, cette rivalité coloniale qui opposa en Asie centrale les empires russe et britannique. Précédés de lanciers en manteau écarlate et shako à plumes, près de vingt mille soldats des armées britanniques et de la Compagnie anglaise des Indes orientales se déversent par les passes de haute montagne afin de rétablir à Kaboul un roi déchu : Shah Shuja ul-Mulk.
Les tribus afghanes, mal équipées, n’opposent d’abord que peu de résistance, mais deux années d’occupation suffisent à unifier le pays dans la colère. Les grands chefs de guerre afghans, dont la finesse et la culture peuvent s’allier à la plus grande cruauté, jurent que l’arrogance anglaise se paiera au prix fort – et la nation la plus puissante du monde va connaître en Afghanistan la pire déroute militaire de son histoire.
En faisant entendre pour la première fois les chroniques afghanes de ce conflit, William Dalrymple parvient à lui donner un relief saisissant. On y découvre, en particulier, que les femmes des deux camps ont su jouer un rôle de tout premier ordre. Parabole de l’aveuglement impérialiste, Le Retour d’un roi est le récit magistral de la première guerre d’Afghanistan, et la démonstration que les stratèges de notre époque n’en ont tiré aucune leçon...
« Délicieusement écrit » The Spectator
« William Dalrymple est un maître conteur » The Independent
« Brillant » The Financial Times
« Un travail de grande érudition » The Times
Historien et journaliste écossais, William Dalrymple parcourt l’Orient depuis une vingtaine d’années. Spécialisé dans la littérature de voyage, il est l’auteur de six livres parmi lesquels Le Moghol Blanc (Noir sur Blanc, 2005) qui a remporté, entre autres, le prestigieux Wolfson Prize for History. La Cité des Djinns (Noir sur Blanc, 2006) a reçu le Thomas Cook Travel Book Award. William Dalrymple est membre de la Royal Society of Literature et de la Royal Asiatic Society. Il vit avec sa femme et leur trois enfants entre l’Écosse, Londres et New Delhi.
« Pour qui a le goût de l’échappée lointaine et aventureuse, William Dalrymple est un modèle. » (Le Figaro magazine)
Les tribus afghanes, mal équipées, n’opposent d’abord que peu de résistance, mais deux années d’occupation suffisent à unifier le pays dans la colère. Les grands chefs de guerre afghans, dont la finesse et la culture peuvent s’allier à la plus grande cruauté, jurent que l’arrogance anglaise se paiera au prix fort – et la nation la plus puissante du monde va connaître en Afghanistan la pire déroute militaire de son histoire.
En faisant entendre pour la première fois les chroniques afghanes de ce conflit, William Dalrymple parvient à lui donner un relief saisissant. On y découvre, en particulier, que les femmes des deux camps ont su jouer un rôle de tout premier ordre. Parabole de l’aveuglement impérialiste, Le Retour d’un roi est le récit magistral de la première guerre d’Afghanistan, et la démonstration que les stratèges de notre époque n’en ont tiré aucune leçon...
« Délicieusement écrit » The Spectator
« William Dalrymple est un maître conteur » The Independent
« Brillant » The Financial Times
« Un travail de grande érudition » The Times
Historien et journaliste écossais, William Dalrymple parcourt l’Orient depuis une vingtaine d’années. Spécialisé dans la littérature de voyage, il est l’auteur de six livres parmi lesquels Le Moghol Blanc (Noir sur Blanc, 2005) qui a remporté, entre autres, le prestigieux Wolfson Prize for History. La Cité des Djinns (Noir sur Blanc, 2006) a reçu le Thomas Cook Travel Book Award. William Dalrymple est membre de la Royal Society of Literature et de la Royal Asiatic Society. Il vit avec sa femme et leur trois enfants entre l’Écosse, Londres et New Delhi.
« Pour qui a le goût de l’échappée lointaine et aventureuse, William Dalrymple est un modèle. » (Le Figaro magazine)