Emma est une grande fille aux jambes longues, douce et fantasque, habillée comme l’as de pique, qui a lu trop de livres et vu trop de films. Elle aime l’amour avant tout, l’amour qui se rêve et s’invente autant qu’il se vit.
Entre recueil de nouvelles et roman, Les jolis garçons est composé de trois textes : trois hommes, trois moments dans la vie d’Emma.
Le premier, Marc Stevenson est un avocat célèbre lisse, ponctuel, parfait jusqu'à en être désincarné. La passion qu'il suscite est dévorante, obsessionnelle et emmène Emma aux limites de la folie. Quelques années plus tard, Emma rencontre Ethan Castor, un écrivain, marié, sombre et charmeur, qui vit dans le silence et cherche un échappatoire. Leur rencontre, à la fois trouble, joyeuse et érotique, dure trois jours et résonnera longtemps. Le troisième amant, Milan Mikaev est un animateur de télévision égocentrique, imprévisible, désarmant d'irresponsabilité et de narcissisme. Pour la première fois Emma est emportée dans la fiction d’un autre et la rencontre bascule dans une aventure médiatique hallucinée où l’invraisemblable prend le pas sur les sentiments.
Combien de fois faut-il rejouer la fable, pour être capable de s’en défaire ? Sommes-nous condamnés à ça, reproduire inlassablement la même illusion, le même désenchantement ? La rencontre de l’autre n’est-elle que pure fiction ?
Entre recueil de nouvelles et roman, Les jolis garçons est composé de trois textes : trois hommes, trois moments dans la vie d’Emma.
Le premier, Marc Stevenson est un avocat célèbre lisse, ponctuel, parfait jusqu'à en être désincarné. La passion qu'il suscite est dévorante, obsessionnelle et emmène Emma aux limites de la folie. Quelques années plus tard, Emma rencontre Ethan Castor, un écrivain, marié, sombre et charmeur, qui vit dans le silence et cherche un échappatoire. Leur rencontre, à la fois trouble, joyeuse et érotique, dure trois jours et résonnera longtemps. Le troisième amant, Milan Mikaev est un animateur de télévision égocentrique, imprévisible, désarmant d'irresponsabilité et de narcissisme. Pour la première fois Emma est emportée dans la fiction d’un autre et la rencontre bascule dans une aventure médiatique hallucinée où l’invraisemblable prend le pas sur les sentiments.
Combien de fois faut-il rejouer la fable, pour être capable de s’en défaire ? Sommes-nous condamnés à ça, reproduire inlassablement la même illusion, le même désenchantement ? La rencontre de l’autre n’est-elle que pure fiction ?