Hombres con mujeres, mujeres con hombres, hombres con hombres, mujeres con mujeres, trios, orgías, masturbación, sexo anal, sadomasoquismo, sangre, muerte...
Escrita en 1908, fue tachada como obra inmoral, indecorosa, pornográfica e incluso surreal, Las 11.000 vergas, está protagonizada por el príncipe Vibescu y toda una larga lista de monarcas, prostitutas, sirvientas y sirvientes los cuales disfrutan de un sexo caótico entre ellos dándose descargas, azotes, enculadas, felaciones y masturbaciones.
Il relate l'histoire fictive du prince roumain Mony Vibescu, dans un périple qui le mène de Bucarest à Paris, puis dans l'Europe entière et finalement à Port-Arthur (en Chine), où il meurt flagellé par un corps d'armée, accomplissant ainsi sa destinée pour avoir failli à un serment :
« Si je vous tenais dans un lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même les onze mille verges me châtient si je mens !»
Les pérégrinations du héros sont ponctuées de scènes notablement crues, où Apollinaire explore toutes les facettes de la sexualité avec une volonté évidente d'éclectisme : sadisme alterne avec masochisme, ondinisme et scatophilie avec vampirisme, pédophilie avec gérontophilie et nécrophilie, onanisme avec sexualité de groupe, saphisme avec pédérastie, etc. L'écriture est alerte, l'humour — noir au besoin — constamment présent, et l'ensemble du roman dégage une impression de « joie infernale », qui trouve son apothéose dans la scène finale.
Escrita en 1908, fue tachada como obra inmoral, indecorosa, pornográfica e incluso surreal, Las 11.000 vergas, está protagonizada por el príncipe Vibescu y toda una larga lista de monarcas, prostitutas, sirvientas y sirvientes los cuales disfrutan de un sexo caótico entre ellos dándose descargas, azotes, enculadas, felaciones y masturbaciones.
Il relate l'histoire fictive du prince roumain Mony Vibescu, dans un périple qui le mène de Bucarest à Paris, puis dans l'Europe entière et finalement à Port-Arthur (en Chine), où il meurt flagellé par un corps d'armée, accomplissant ainsi sa destinée pour avoir failli à un serment :
« Si je vous tenais dans un lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même les onze mille verges me châtient si je mens !»
Les pérégrinations du héros sont ponctuées de scènes notablement crues, où Apollinaire explore toutes les facettes de la sexualité avec une volonté évidente d'éclectisme : sadisme alterne avec masochisme, ondinisme et scatophilie avec vampirisme, pédophilie avec gérontophilie et nécrophilie, onanisme avec sexualité de groupe, saphisme avec pédérastie, etc. L'écriture est alerte, l'humour — noir au besoin — constamment présent, et l'ensemble du roman dégage une impression de « joie infernale », qui trouve son apothéose dans la scène finale.