« Il a réinventé le polar. Ni plus ni moins… Les suites sont souvent décevantes; celle-ci fait exception.
La confrontation entre Harry Bosch et le Poète est un sommet d’intelligence.»
François Busnel - Lire
La confrontation entre Harry Bosch et le Poète est un sommet d’intelligence.»
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Alors qu’il enquête sur le décès de l’ex-profileur du FBI Terry McCaleb, l’ancien inspecteur des Vols et Homicides Harry Bosch en vient vite à penser que Terry n’est pas mort de sa belle mort, mais a bel et bien été assassiné par un meurtrier particulièrement retors. Les faits et les détails concordants sont très troublants, mais… aussi extravagant que cela lui paraisse, Bosch est amené à penser que l’auteur du meurtre est l’ancien grand patron du FBI, Robert Backus, dit « Le Poète ». Sauf que… le Poète est mort. À force de chercher, Bosch découvre une piste qui le remet en contact avec le FBI.
Dans le même temps, l’agent du FBI Rachel Walling, ancienne protégée de Backus tout comme l’était McCaleb, et qui a été exilée dans le Dakota du Sud suite au rôle qu’elle a joué dans l’enquête sur le Poète, reçoit l’appel qu’elle redoutait depuis toujours : oui, le Poète est toujours vivant. Et il ne l’a pas oubliée.C’est donc contre leurs hiérarchies respectives que Walling et Bosch joignent leurs forces et, de Las Vegas au désert du Nevada en passant par les bas-fonds de Los Angeles, ils traquent alors un Poète qui n’a rien perdu ni de sa superbe, ni de son amour de la mort donnée avec la plus grande jouissance.
Dans le même temps, l’agent du FBI Rachel Walling, ancienne protégée de Backus tout comme l’était McCaleb, et qui a été exilée dans le Dakota du Sud suite au rôle qu’elle a joué dans l’enquête sur le Poète, reçoit l’appel qu’elle redoutait depuis toujours : oui, le Poète est toujours vivant. Et il ne l’a pas oubliée.C’est donc contre leurs hiérarchies respectives que Walling et Bosch joignent leurs forces et, de Las Vegas au désert du Nevada en passant par les bas-fonds de Los Angeles, ils traquent alors un Poète qui n’a rien perdu ni de sa superbe, ni de son amour de la mort donnée avec la plus grande jouissance.