Jason : chanteur, sexy, irrésistible et aimant à problèmes.
Moi : cat-sitter solitaire et cynique avec une tendance à fuir au moindre sentiment…
Vous imaginez le résultat ?
Tout ça, c'est la faute du chat ! Je devais rester à San Francisco quelques semaines seulement, le temps d'une exposition de photos. Mais Prince, ce maudit félin, a tout fichu par terre !
Prince, et surtout son propriétaire : Jason, le beau, séduisant, irrésistible chanteur de Golden. Un aimant à problèmes ! Le genre d'homme que je fuis sans me retourner, d'ordinaire.
Seulement, je n'ai jamais su résister à un défi… Surtout quand celui-ci est aussi sexy que Jason. Alors, les problèmes, j’en fais mon affaire. Quitte à jeter mon cœur et toutes mes convictions dans la balance !
***
– Demain matin, il faudra acheter un congélateur.
– Si romantique, se moque Jason en m'embrassant jusqu'à ce que j'aie oublié tout ce qui n'est pas lui.
– Première fois ici, murmure Jason en effleurant mon oreille de ses lèvres.
– Oh. Ça se fête ?
– Absolument. Quelle chambre essayons-nous en premier ?
– La mienne, dis-je sans hésiter.
Les draps, blancs, lisses et anonymes, proviennent certainement de la société d'entretien. Je me promets d'acheter des couvertures en polaire… et de faire changer le chauffage. Ces vieux convecteurs dégagent une drôle d’odeur.
– Tu es censée me regarder moi, rappelle Jason, pas le radiateur.
– Oups, désolée, dis-je en riant.
Mon rire meurt sur mes lèvres en constatant qu'il a déjà commencé à se déshabiller. Le désir coule sur nous comme une vague tiède. Quelque part dans la maison, une planche craque bruyamment, faisant sursauter Jason. Je ris.
– Ne t'inquiète pas. C'est juste le bois qui joue. Tu n'as jamais vécu dans une maison en bois ?
– Pas que je sache.
– Alors il faudra t'habituer. Le bois travaille.
– Il n'y a pas que lui, remarque Jason en guidant ma main un peu plus bas que la décence ne le voudrait.
– Si tu fais le moindre jeu de mots au sujet d'une bûche ou je ne sais quoi…
– Eh bien ?
Je le fais taire de la meilleure façon que je connaisse : en l'embrassant. Ses bras m'entourent comme un cocon, son corps épouse le mien et sa bouche s'ouvre pour m'accueillir. Si le bois pouvait rougir, mon lit virerait à l'écarlate avant la fin de la nuit…
***
Tout ça, c'est la faute du chat ! Volume 6 sur 6
Moi : cat-sitter solitaire et cynique avec une tendance à fuir au moindre sentiment…
Vous imaginez le résultat ?
Tout ça, c'est la faute du chat ! Je devais rester à San Francisco quelques semaines seulement, le temps d'une exposition de photos. Mais Prince, ce maudit félin, a tout fichu par terre !
Prince, et surtout son propriétaire : Jason, le beau, séduisant, irrésistible chanteur de Golden. Un aimant à problèmes ! Le genre d'homme que je fuis sans me retourner, d'ordinaire.
Seulement, je n'ai jamais su résister à un défi… Surtout quand celui-ci est aussi sexy que Jason. Alors, les problèmes, j’en fais mon affaire. Quitte à jeter mon cœur et toutes mes convictions dans la balance !
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– Demain matin, il faudra acheter un congélateur.
– Si romantique, se moque Jason en m'embrassant jusqu'à ce que j'aie oublié tout ce qui n'est pas lui.
– Première fois ici, murmure Jason en effleurant mon oreille de ses lèvres.
– Oh. Ça se fête ?
– Absolument. Quelle chambre essayons-nous en premier ?
– La mienne, dis-je sans hésiter.
Les draps, blancs, lisses et anonymes, proviennent certainement de la société d'entretien. Je me promets d'acheter des couvertures en polaire… et de faire changer le chauffage. Ces vieux convecteurs dégagent une drôle d’odeur.
– Tu es censée me regarder moi, rappelle Jason, pas le radiateur.
– Oups, désolée, dis-je en riant.
Mon rire meurt sur mes lèvres en constatant qu'il a déjà commencé à se déshabiller. Le désir coule sur nous comme une vague tiède. Quelque part dans la maison, une planche craque bruyamment, faisant sursauter Jason. Je ris.
– Ne t'inquiète pas. C'est juste le bois qui joue. Tu n'as jamais vécu dans une maison en bois ?
– Pas que je sache.
– Alors il faudra t'habituer. Le bois travaille.
– Il n'y a pas que lui, remarque Jason en guidant ma main un peu plus bas que la décence ne le voudrait.
– Si tu fais le moindre jeu de mots au sujet d'une bûche ou je ne sais quoi…
– Eh bien ?
Je le fais taire de la meilleure façon que je connaisse : en l'embrassant. Ses bras m'entourent comme un cocon, son corps épouse le mien et sa bouche s'ouvre pour m'accueillir. Si le bois pouvait rougir, mon lit virerait à l'écarlate avant la fin de la nuit…
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Tout ça, c'est la faute du chat ! Volume 6 sur 6