« Tu vivras, mon fils » : sans ces paroles, prononcées par son père sur son lit de mort, peut-être Pin Yathay n'aurait-il jamais survécu à l'enfer khmer rouge. En avril 1975, l'évacuation de Phnom Penh, tombée aux mains des troupes de Pol Pot, aura été, pour cet ingénieur que tout destinait à une brillante carrière au service de son pays, le point de départ d'un périple aux confins de la folie. Avec sa femme, leurs enfants et les membres de sa famille, Pin Yathay connaît la déportation, les travaux forcés, la faim, la peur, les séances de « rééducation » où le moindre prétexte peut entraîner une mort immédiate. Plus de deux ans durant, il vit l'enfer, luttant pour ne pas sombrer tandis qu'autour de lui, un à un, ses proches disparaissent. Jusqu'au jour où, démasqué en tant qu'intellectuel, il décide de fuir et de gagner la Thaïlande. Depuis plus de vingt ans, il n'a eu de cesse de le retrouver le fils qu'il a laissé derrière lui. En vain.
Un livre salué par la critique : "Le compte-rendu bouleversant de la désintégration d'une société, sous les coups de la paranoïa des Khmers rouges " (The Christian Science Monitor) ; " Un prix hallucinant payé à la liberté " (Sunday Express).
La première édition de ce livre a paru en 2000 à l'Archipel.
Un livre salué par la critique : "Le compte-rendu bouleversant de la désintégration d'une société, sous les coups de la paranoïa des Khmers rouges " (The Christian Science Monitor) ; " Un prix hallucinant payé à la liberté " (Sunday Express).
La première édition de ce livre a paru en 2000 à l'Archipel.